Projet biodiversité : Les Batraciens et Serpents sont utiles : conservons les ! publié le 13/01/2015

Vivarium de Quito et sorties de terrain

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  • Tout a commencé avec la visite du Vivarium de Quito et la rencontre de María Elena Barragán, directrice exécutive de cet établissement. L’Equateur compte, aujourd’hui, 479 espèces de Batraciens (449 Grenouilles dont 182 endémiques) et 414 espèces de Serpents (209 Serpents dont 44 endémiques). On dénombre en France métropolitaine seulement 35 espèces de Batraciens (dont la Grenouille des Pyrénées endémique) et 12 espèces de Serpents dont aucune endémique.
    En Equateur comme en France, les Batraciens et Serpents disparaissent du fait de l’urbanisation, les pollutions ou encore une peur associée à une méconnaissance de ces animaux. Maria Elena Barrágan essaie de sensibiliser les écoles et le grand public à l’utilité des Batraciens et Serpents pour l’humanité notamment à travers des campagnes d’éducation dans le vivarium, dans les écoles et à travers un blog qui met en scène une petite Grenouille marsupiale retrouvée à Quito et en voie de disparition.
    Le vivarium de Quito travaille également en association avec la Réserve du Rio Bigal gérée par la fondation Sumac Muyu.
  • La problématique de Maria Eléna Barragàn est la même que la nôtre en France :
     Comment sensibiliser les jeunes et le grand public à la disparition des Batraciens et Serpents et au danger de leur disparition pour l’humanité ?
     Comment montrer l’utilité de ces animaux ?
  • Impliquer les élèves dans des sujets concrets reste le vecteur le plus efficace pour ancrer des savoirs, capacités et comportements. Il nous a donc semblé pertinent de lier l’enseignement des Langues et des Sciences à une démarche de terrain.
  • Le projet fut proposé sur des heures de cours d’espagnol pour les Secondes et en horaires libres, au travers notamment une sortie sur deux jours, pour les volontaires de Première S et Terminales S.