Sur les pas de Françoise PÉTROVITCH. publié le 20/06/2013

Projet fédérateur à THOUARS

Sur les pas de Françoise PÉTROVITCH.
Corps en accord avec notre ville.

Corps en accord avec le collège.

graphisme en vitrines

Dans le cadre du projet fédérateur Sur les pas de Françoise PÉTROVITCH, Figure imposée11, ce blog servira de vitrine virtuelle permettant les échanges et réactions entre les élèves grâce à la mutualisation des pratiques pédagogiques des structures impliquées dans la ville de Thouars. DRAC, EMAP, Centre d’Arts de la chapelle Jeanne d’Arc, Premier degré : école Anatole France, école Ferdinand Buisson, Second degré : Collège Marie de la Tour d’Auvergne, Collège Jean Rostand.

decalque sur transparent

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Nous vous invitons à découvrir les images in-situ et réactions de nos élèves face aux œuvres de Françoise PÉTROVITCH ainsi que les propositions pédagogiques en arts visuels du premier degré et arts plastiques du collège développées lors de ce parcours d’ouverture culturelle.

Hervé ARNAULT, Enseignant, Arts Plastiques, Collège Jean Rostand.

Blanc de meudon sur vitre
« Il s’agit pour elle de poser la question du dessin à l’échelle de la ville, le dessin comme fantôme et comme présence réactivée ou réactivante. Touchée par ces lieux vacants et désertés, qui sont malheureusement très présents sur le territoire, Françoise Pétrovitch ne veut pas les stigmatiser mais questionner par son dessin ces espaces urbains devenus fantomatiques. Elle a déjà effectué un repérage des boutiques à vendre ou fermées. À l’atelier, elle préparera des dessins qui seront ensuite agrandis et projetés sur les vitrines et qu’elle réalisera in-situ. Dans le même temps que celui de la réalisation des dessins, Françoise Pétrovitch, accompagnée d’une équipe technique, filmera la rue, de l’intérieur des boutiques ayant servi de support à ses dessins. Elle enregistrera le déroulement de la vie, ou même peut être parfois, une certaine absence de vie, au travers de ses dessins. Autrement dit, une rue réinventée par le prisme de son imagination, de l’univers merveilleux, souvent troublant, parfois inquiétant de son iconographie. »

J.L. Dorchies, Directeur de l’EMAP.