Usages d'un tableau blanc interactif et d'une webcam en classe publié le 07/03/2014  - mis à jour le 17/07/2018

Témoignage

Figure géométrique commentée

Copie d’élève au tableau numérique interactif

Jérôme Deboeuf1 a présenté lors des Rencontres autour du numérique le 12 décembre 2012 quelques exemples de ses usages du tableau blanc interactif.

Exploitation des résolutions de problèmes

Il projette parfois sur le tableau blanc interactif la feuille d’exercices d’un élève photographiée avec une webcam (sans indiquer de quel élève il s’agit). Il peut ainsi expliciter les erreurs sur le tableau à l’aide d’un stylet.
Il donne parfois à voir deux copies différentes, pour comparer deux méthode permettant toutes deux d’atteindre le bon résultat.

L’appui d’illustrations

Il utilise parfois des animations flash pour mieux faire comprendre certaines notions.
Il propose des exercices accompagnés de photos d’écran ou de documents illustrant le problème à traiter, et des activités avec corrections interactives, notamment celles des manuels de sésamath.

Synthèses en fin de séance

Pour rappeler ce qui a été fait durant le cours, il s’appuie sur la fonction « trieuse » du logiciel utilisé avec le TBI, et fait apparaître sous la forme de vignettes toutes les pages utilisées pendant la séance.

Les apports, les limites :
Jérôme estime, avec ces différentes pratiques, gagner du temps dans la présentation collective des corrections, gagner en interactivité, et offrir des synthèses plus vivantes. Cependant il signale que le tableau blanc interactif ne facilite pas réellement une pédagogie active : le professeur reste le principal acteur des séances pendant lesquelles cet outil est utilisé.

Astuce : Il trouve pratique d’utiliser le bouton (« Freeze » , ou « Mute » ou « no show ») du vidéoprojecteur pour conserver l’image désirée sur le grand écran pendant qu’il recherche autre chose sur son écran d’ordinateur.

(1) enseignant de mathématiques au collège Supervielle à Bressuire (79)