Pédagogie(s) active(s) en langues vivantes publié le 12/07/2018

 Débuter en langues en adoptant une démarche portée par l’auto-socio-construction des savoirs est loin d’être chose aisée. C’est bien ce constat que fait Damien Dechanterac à ses dépens au début de son année de stage. D’où son envie d’investir le champ de la théorie pour interroger et changer ses pratiques. De fil en aiguille, il se rend compte que les projets qu’il propose à ses élèves relèvent davantage de l’approche communicative que de la perspective actionnelle. L’apprenant est en effet réduit à un simple locuteur alors qu’il devrait être considéré comme un acteur social.

 Les projets qu’il va mettre en oeuvre le reste de l’année (3 exemples concrets sont analysés) témoignent des changements opérés dans l’approche : la communication est en premier lieu mise au service de l’action, ce qui constitue un changement de paradigme radical. La dimension collective et éducative est également intégrée aux projets de fin de séquence. Enfin, le professeur réussit à se mettre davantage en retrait en laissant beaucoup plus de place à la créativité des élèves et à leur autonomie.

Document joint

Mémoire de Damien Dechanterac, professeur stagiaire dans l’académie de Poitiers en 2017/2018.

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Auteur

 Sèverine GRILLET

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