
Autour du programme Portraits publié le 18/01/2020 - mis à jour le 14/04/2020
Le programme Portraits sur la plateforme Nanouk
Trois portraits, trois rencontres - Le portrait, c’est un art du regard et de l’observation.

Ecrit par Nicolas Giuliani (2018), responsable des éditions DVD de Potemkine Films où il a créé en 2013 « la collection documentaire »
Présenter le programme de courts métrages Portraits avant la séance

Préparer les élèves au visionnement du programme, exploiter les films.
Autre portrait en court métrage :
"L’acteur"de Jean-François Laguionie
Sur le documentaire :
la leçon de cinéma de Agnès Varda
Espace de Eléanor Gilbert, France, 14 minutes, 2014
"Espace" sur le site de Ciclic
Les droits étant échus, le film est disponible sur la plateforme payante :
Le kinétoscope
Outils pour un débat sur le site GenrImages
Ressources sur le site pédagogique DSDEN 16 pour réfléchir sur la récréation avec les élèves :
Des pratiques physiques pour améliorer le climat scolaire
Beppie de Johan Van Der Keuken, Pays Bas, 35 minutes, 1965

Comment préparer les élèves au visionnement de Beppie ? Pistes d’exploitation
Nanouk : Analyse de la séquence de la fête :
"Qu’est-ce qui constitue le monde d’un personnage ? Dans Beppie, ce monde se partage en trois : c’est d’abord une présence physique, un corps de petite fille, que Johan van der Keuken filme de bas en haut avec pudeur et sensibilité – pieds, jambes, mains, torse sous la douche, cheveux chez le coiffeur, visage éclairé par mille expressions ; c’est aussi un environnement social, une réalité quotidienne – sa famille, son école, ses jeux, ses copains… et c’est enfin un monde invisible, une réalité intérieure, cachée, constitué de pensées, d’imaginations et de rêves. Comme on le perçoit très fortement dans cette petite séquence de moins de deux minutes (et de 29 plans), c’est ce monde intérieur de Beppie que le cinéaste cherche à représenter. Voyons comment, sans jamais rompre le lien documentaire avec la réalité qu’il filme, Johan van der Keuken va avoir recours à la fiction comme un jeu pour chercher à retranscrire cinématographiquement l’imaginaire pétillant et malicieux de sa petite protagoniste."
"La sole entre l’eau et le sable", Angèle Chiodo, France,15 minutes, 2014,
A propos du surréalisme

Germaine Dulac réalise un des premiers films surréalistes. France | 1928 | 44 minutes